pied

Infiltrations écho-guidées du pied

Infiltrations du pied

Les infiltrations du pied sont essentiellement celles de l’aponévrose plantaire. Le névrome de Morton et les bursites inter-capito-métatarsiennes peuvent également être soulagées par infiltrations. L’expertise de Echo 38, cabinet médical de Meylan, se porte alors sur l’analyse de la douleur et sa prise en charge. Les techniques d’écho-chirurgie et notamment d’aponévrotomie per cutanée à l’aiguille prennent sens en ce qui concerne le pied.

Aponévrosite plantaire - Fasciite plantaire – Épine calcanéenne - Ténotomie per cutanée à l'aiguille et PRP

L’aponévrosite plantaire est un déséquilibre entres les capacités de régénération cellulaires et les forces de traction. Dès lors, les traumatismes répétés sont à l’origine de micro-ruptures et de la dégénérescence du collagène.

En cas d’échec de la prise en charge fonctionnelle optimale, c’est-à-dire mise au repos, kinésithérapie bien menée, un geste de ténotomie associée à une infiltration de PRP peut vous être proposé par Echo 38.

La ténotomie per cutanée à l’aiguille consiste à aviver les fibres tendineuses pathologiques. Pour ce faire, le Dr FAVAREL, utilise le biseau d’une aiguille comme un scalpel tranchant. Afin de ne cribler que les fibres pathologiques, l’utilisation concomitante d’échographie est obligatoire. Souvent ce sont les fissures de l’aponévrose qui sont pathologiques.

Ensuite, une préparation de PRP est réalisée, puis infiltrée dans les fibres pathologiques. Les granules contenus dans les plaquettes vont libérer les facteurs de croissance et les médiateurs chimiques qui vont stimuler la régénération de l’aponévrose.

 

Syndrome de Morton - Névrome de Morton et infiltrations

Le névrome de Morton est un syndrome canalaire. C’est-à-dire que suite à un dysfonctionnement de l’appui, il se crée une hyper-pression dans le canal formé entre deux métatarsiens. Le nerf digital plantaire est alors comprimé.

L’infiltration d’un névrome de Morton est donc une infiltration de corticoïdes. Le but est de diminuer l’inflammation dans ce canal. Les corticoïdes vont sécher l’œdème réactionnel à l’hyper-pression. Cette infiltration permet de repousser la chirurgie, mais pas de l’éviter.